jeudi 31 mars 2016

Lectures

La vie est facile, Ne t’inquiète pas  Agnès Martin Lugand

La suite Les gens heureux  lisent et  boivent du café, on retrouve Diane de retour d’Irlande, qui reprend le cours de sa vie après la mort de son mari et de sa fille… On se laisse aller à suivre sa vie, sa librairie/café, son meilleur ami homo, son nouvel amant et l’irlandais….

Une lecture agréable, un roman à l’eau de rose charmant…

Les réponses Elisabeth Little  Attention terriblement additif!!!

Une jeune femme sort de prison après 10 ans de réclusion pour l’assassinat de sa mère, riche et célèbre. Elle clame son innocence mais n’a aucun souvenir de cette nuit là . L’opinion publique est, par contre, persuadée de sa culpabilité.
Sous une fausse identité, aidée par son avocat, elle part à la recherche de la vérité….

Attention si vous ouvrez ce livre prévoyez un week end uniquement lecture…On ne peut se détacher de cette folle poursuite de vérité : les personnages sont fabuleusement attachants, l’écriture est fine, légère et le suspens parfait…Génial !

mercredi 30 mars 2016

Chocolat, lecture....

Le week end fut tristounet... le temps a accompagné ma mélancolie...

Heureusement mon passage à la biblio m'a permis de dévorer de fabuleux romans...

Les cloches sont passées dimanche pour les 2 grands garçons qui apprécient toujours ce petit moment d'enfance!!! Le lapin de Pâques est bien arrivé à Détroit, chez fillette, avec la verveine et la serpillière !!!

M.Mari vit sa vie ....les bonnes résolutions prises après sa visite chez M.Médecin, n'ont pas duré...
Une solution s'envisage pour la reprise de son entreprise....

Un gigot et un fondant au chocolat lundi soir, pour le dîner dominical !!!

vendredi 25 mars 2016

Lectures

Mygale Thierry Jonquet

Un polar noir, 3 personnages ou 4 (à décider au fil de la lecture), un chirurgien de renom, un gars paumé braqueur, une fille paumée droguée….

Lu en une journée on se laisse attraper par cette histoire horrible… seule déception j’avais presque tout découvert avant la fin…

Les suprêmes  Edward Kelsey Moore

Résumé Babelio :
Elles se sont rencontrées dans les années 1960 et ne se sont plus jamais quittées : tout le monde les appelle "les Suprêmes", en hommage au célèbre groupe des années 1970.
Complices dans le bonheur comme dans l
adversité, ces trois irrésistibles "quinquas" afro-américaines aussi puissantes que fragiles ont fait dun des restaurants de leur petite ville de lIndiana.
Longtemps marqu
ée par la ségrégation leur quartier général où, tous les dimanches, entre commérages et confidences, rire et larmes, elles élaborent leurs stratégies de survie et se gavent de poulet frit. Rendez-vous avec vos futures meilleures amies.

Roman sublime, une belle découverte (merci les blogs je ne sais plus qui )… Les personnages sont attachantes, humour, douce folie, amour, amitié… Franchement à ne pas manquer… Etonnée que ce soit un homme l’écrivain !

Que ta volonté soit faite Maxime Chattman

Résumé Babelio :
"Les enfants de toute lAmérique avaient le Croquemitaine pour se raconter des histoires qui font peur, à Carson Mills, ils avaient Jon Petersen."
Pour son vingtième roman, Maxime Chattam dresse le portrait d
une petite ville du Midwest américain des années 60 jusquau début des années 80, avec pour fil rouge l’évolution de Jon Petersen  pervers psychopathe  de son enfance jusquau point culminant de sa sinistre carrière criminelle.

Gore, noir, horrible, effayant… du Chattam quoi !!! On a qu’une hâte en finir pour savoir…et là surprise !!!!

mercredi 23 mars 2016

Je suis....

Je suis Bruxelles, Paris...... Un jour j'aimerai ne plus être une ville souffrant par la faute d'êtres ignobles, stupides, ignorants, cruels....
Hier j'ai eu une pensée pour tous mes copinautes belges...

Je me permet de reprendre ici et de partager cette magnifique chronique :

Après la colère et la tristesse, le temps est venu pour moi de te présenter mes excuses. Cela fait 20 ans que je te mens. La chronique de Béatrice Delvaux. Le Soir
Cher toi,
Ce matin, j’ai hurlé, en traversant notre ville du nord au sud. Je ne pouvais arrêter mes larmes. Je voulais me boucher les oreilles, je n'en pouvais plus d'entendre les sirènes.
  
Mais après la colère et la tristesse, le temps est venu pour moi de te présenter mes excuses. De te demander pardon.

Cela fait 20 ans que je te mens. Je n’ai qu’une excuse : cela fait 20 ans que je crois mon mensonge. Je t’ai vendu ce monde comme celui des possibles, du grand voyage, de ces espaces que tu allais, toi, pouvoir arpenter, de ces peuples que tu allais, toi, rencontrer. Moi qui avais pris l’avion pour la première fois à 15 ans, moi qui avais vu l’Amérique à 22 ans, moi qui avais appris l’anglais en cours de route et le néerlandais quand il fallait.
 
Moi qui étais certaine que nous t’avions épargné la guerre, en la rangeant dans les livres d’histoire ou dans les anecdotes que ta grand-mère ou ton grand-père te racontait depuis leur village natal. Nous étions tellement certains de les avoir enterrés, les démons qui avaient fait les camps de concentration, les génocides, le napalm, le goulag. Goulag ? Tu as même cru que je parlais d’un plat hongrois. On en a tant ri, tu te souviens ?

Pourquoi aurions nous eu peur ? Nos parents l’avaient faite, eux, la guerre, mais ils avaient aussi, dans la foulée, fait la paix. Elle avait même pris la forme de cette Europe qui devait être le garde-fou en béton de nos folies, de nos dérives. Ce monde que nous t’avons promis, nous y croyions vraiment, pour la bonne raison que nous l’avions vu advenir.

Nous avons vu tomber les murs, les idéologies, les barrières et pas que commerciales. Moi, ta mère, j’ai profité de l’égalité croissante avec les hommes, de ces droits conquis et transcrits en lois. Moi, ton père, je n’ai pas dû faire mon service militaire dont j’ai vécu les derniers spasmes. Car l’heure n’était plus aux armées, mais aux consciences. L’heure n’était plus à envahir le voisin pour le soumettre, mais à y séjourner, à y séduire, à apprendre la langue de l’autre, en tente, en caravane ou en camping-car d’abord, sac à dos façon Routard ensuite et puis sous le couvert de cet Erasmus que tu devrais – devais ? – enfourcher dans quelques mois.

Nous avions vaincu les haines– « plus jamais ça », c’était plus qu’un slogan, c’était devenu une charte, une convention, des lois, le droit.
Nous avions vaincu les diktats de l’Eglise et de la religion – l’avortement, l’euthanasie avaient gagné petit à petit droit de cité.
Nous avions vaincu les tabous et les morales étroites – tu peux être homosexuel(le), te marier, te pacser, adopter.
Nous avions vaincu les préjugés et les racismes – à quelques pas d’ici réside le Centre pour l’égalité des chances qui protège les hommes/femmes des maléfices d’autres hommes/femmes.
En grandissant, j’ai assisté, incrédule mais extatique, à l’incroyable croisade qui faisait d’un Noir l’égal d’un Blanc, avec des droits égaux. « One man one vote » : on a marché pour les rêves de Martin Luther King, on a boycotté les oranges d’Afrique du Sud. C’était juste magique : un combat débouchait sur une victoire, le monde se déplaçait inexorablement du pire au meilleur. Imagine, on t’offrait sur un plateau, comme la promesse d’éternité de ce nouveau monde que nous avions bâti, Obama et Mandela, présidents ! C’était pas beau ça ? C’était pas grand ? Mais qu’est-ce qui pouvait bien tourner mal ? On l’avait décrochée, la timbale, non ! Obama et l’Europe, Prix Nobel de la Paix. On était les rois du pétrole ! Alleluyah !

Alors, non ! Je ne voulais pas que tu voies ces corps déchiquetés, ces chairs explosées station Maelbeek. Maelbeek, à deux pas de chez toi, Maelbeek, centre de Bruxelles, au nom qui sonne comme une blague, un rendez-vous, un plan drague : «  on se voit à Maelbeek  », «  tu descends à Maelbeek  », «  on s’est embrassé à Maelbeek  » ?

Alors, non ! Je ne voulais pas que tu entendes, hier, les cris de cet enfant terrorisé, dans la fumée de l’explosion, seul fil conducteur dans l’horreur, menant vers la sortie de ce métro éventré, déchiqueté, assassiné.

Alors, non ! Je ne voulais paas que tu penses qu'on pouvait mourir dans ta ville et que ton innocence s'arrête à cette date 22 mars 2016, à ces ceintures de la mort, à ces détonateurs tenus dans la main de garçons perdus qui, et c’est là tout le tragique, ont ton âge.

Ta détresse me transperce, ta peur surtout. Mais plus que tout, ton calme, la manière dont tu fais face, la retenue que tu t’imposes me rendent fière et triste. Le fait aussi que tu ne me lances pas à la tête ce « putain de monde » qui est le tien. Tu as cette grâce, mon fils. Tu as cette force, ma fille. D’autant que quand tu m’interroges, même si je n’arrive pas à te le dire, tu le sais : je n’ai pas les solutions.
Nous allons essayer de fixer ce b…, mais cela nous paraît de plus en plus clair : tu ne pourras y échapper, tu vas devoir te battre. Au moment où j’écris ces lignes, je croise simplement les doigts pour que ce ne soit pas au sens premier du terme. Comme avant…

C’est tout ce que j’ai à t’offrir aujourd’hui : être à tes côtés et te protéger du bouclier des valeurs auxquelles je crois et que nous devrons tous protéger.

Nous devrons être forts, mon fils. Nous devrons être résistants, ma fille.

Cher toi,
Après la colère, la tristesse, le temps est venu pour moi de te présenter mes excuses. De te demander pardon. Mais de te dire aussi que te sentir là, à mes côtés, me force à redresser la tête.

Et à croire à demain.

lundi 21 mars 2016

Première tulipe !


Vracs de week end...

On pensait un peu que le printemps était arrivé , au vu du soleil de la semaine et à l’abricotier en fleurs, mais ce week end fut bien glacial !

Au programme : rangement des papiers administratifs qui trainaient depuis le mois d’août !!!!
Lavage des vitres de la maison, les rayons du soleil cette semaine m’ont fait honte…

Ma vie est passionnante !!!!

Une nouvelle recette de dessert testée : tarte pomme crème de marron (merci les blogs !)

Le retour de la série Peaky blinders sur Arte (merci le replay !)

Une déception (un peu) en ayant vu le film Ave César , bon Georges reste Georges, heureusement !

Un coucou à Fillette sur Sk*pe, et à son petit chat trop mignon 

vendredi 18 mars 2016

Pour fillette !

Envoi to Détroit

Un kilo de coquillette, de la verveine venue d’Ardèche, du papier d’Arménie, une serpillière introuvable , LA crème Yves Ro*her et quand même un lapin en chocolat pour Pâques

jeudi 17 mars 2016

Alabama Monroe

Alabama Monroe (film belge sur France 4)

La vie d’un couple un peu « original » avant et après la mort de leur fille de 7 ans emportée par une leucémie…
Alternant le temps, avant, après, pendant, ambiance country, belle musique, personnages tendres, charmeurs, tristesse, amour…. 
Un beau film !

mercredi 16 mars 2016

7 ans !

L'âge de raison dit on !!!

Voila 7 ans que je "blogue".... Plus ou moins régulièrement, mais toujours...
D'abord sur Psycho puis ici...
C'est pour moi une façon de "parler", de me soulager, de discuter, de découvrir aussi...
Je m'étonne toujours du bien que me font les commentaires que je reçois, j'ai l'impression d'avoir plein de copains et copines, qui font attention à moi...

Alors à tous je dis merci....

Merci les blogs...

Au hasard de mes ballades sur les blogs, j'ai découvert ce magnifique texte que je voulais partager avec vous ....Merci à Virgine
 www.femmesweetfemme.fr

Elle est revenue rôder, danser autour de toi, te faire croire que ce serait bien que tu la reprennes dans ta vie, après ce long break.
Dans ses reflets, tu lis le bien-être, tu vois la disparition des problèmes, tu espères l’oubli.
Elle te ment. La robe rouge est une salope, tu le sais, tu ne le sais que trop. Elle a volé ton père, elle a volé tes frères, elle a détruit ceux que tu aimes, elle a désintégré ta vie.
Tu crois que tu peux l’apprivoiser, lui laisser juste une petite place. Tu ne peux pas. Elle est plus forte que toi, elle t’aspire, elle te vole, elle te fait disparaître. Tu n’es plus toi quand tu danses avec elle.
Je voudrais qu’elle s’en aille loin, je voudrais l’étouffer, l’anéantir, qu’elle te laisse souffler, qu’elle t’offre ce répit que tu mérites tant. Je voudrais qu’elle n’existe pas, qu’elle ne compte pas autant. Pas plus que toi. Je voudrais te prendre par la main et te montrer comment la vie est belle, quand elle n’est pas floue.
Ne la laisse pas gagner.
Referme la porte tant qu’il est temps.
On est là. Tu n’es pas seul.
Elle est plus forte que toi, mais elle n’est pas plus forte que nous.
Fous-là dehors. S’il te plaît. Jette cette putain de bouteille.
Viens, Papa, je vais te montrer comme la vie est belle sans elle.

Rire !

Djeune n°1, nous fait part, ce week end, de son intention de s'installer en coloc avec deux copains Guillaume et Yassin... Avoir plus grand pour moins cher !

M.Mari lui demande si il s'agit du Guillaume, petit copain de sa soeur et un de ses potes par ailleurs ?
"oh non s'exclame t il, Il est accordeur de piano !"
"ah oui lui répond son père il est aveugle alors !"

Éclats de rire !!!

Lectures

Le testament d’Ariane et Dans les pas d’Ariane Françoise Bourdin

Résumé Babelio : Ariane Nogaro, issue d'une grande famille d'exploitants résiniers des Landes, veuve et sans enfants, décide de mettre de l'ordre dans ses affaires et se rend chez son notaire afin de rédiger son testament.
Elle ne fréquente guère son frère aîné, un professeur à la retraite, pas plus que sa belle-soeur, le couple n'appréciant guère son originalité et sa manière de vivre.
Seule Anne, l'une de ses ni
èces, lui rend régulièrement visite, partageant avec sa tante une véritable affection et complicité. Mariée à un vétérinaire et maman d'un garçon d'une douzaine d'années, elle exerce son métier de comptable à domicile, mène une vie harmonieuse mais sans fantaisie.
Jusqu'au jour où Ariane décède subitement. Contre toute attente, Anne hérite de tous ses biens, dont une grande propriété nichée entre forêt et océan, le berceau des Nogaro.
Un événement qui va faire resurgir les démons du passé, les jalousies et les ranc
œurs, et bouleversera l'unité du clan jusqu'ici préservée.
Que faire en effet de cette maison qui renferme tant de souvenirs? La revendre? Ou au contraire s'y installer, comme Anne le souhaiterait malgré le refus sans appel de son mari de déménager? A-t-elle le droit de mettre son couple en péril?
Et résistera-t-elle aux pressions continuelles de sa famille qui supporte difficilement d'avoir été écartée de l'héritage?
 
Le genre de roman qui se lit comme on regarde une série…Addictif, j’ai lu les 2 tomes en un week end…Très bien menée, l’histoire sans être extraordinaire, nous accroche et on se laisse transporter… Super moment…

vendredi 11 mars 2016

Lectures et films

Elle s’appelait Sarah Tatiana de Rosnay

Résumé Babelio : Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l'étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit. Paniquée, elle met son petit frère à l'abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible.
Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vel d"Hiv. Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie changer à jamais. C'est l'histoire de deux familles que lie un terrible secret, c'est aussi l'évocation d'une des pages les plus sombres de l'Occupation.

J’avais vu le film récemment et le livre m’a bouleversé…. A lire

Le miroir d’Amélie Mireille Pluchard

Un roman terroir  : Amélie Rouvière se souvient : ses amours, ses bonheurs d'institutrice, ses émotions de mère, mais aussi la guerre, l'Occupation et son engagement plein de courage qui en fit une Juste parmi les Justes.

La vie d’une institutrice en Cévennes (c’était une lecture couleur locale !) plaisant, facile….mais pas transcendant !

Electre à la Havane Leonardo Padura

Résumé Babelio : Intrigué par la robe rouge du cadavre retrouvé dans le Bois de La Havane, Mario Conde, l'inspecteur chargé de l'enquête, rend visite à Marqués, metteur en scène de Electra Garrigá de Virgilio Pinera. Homosexuel, exilé dans son propre pays, vivant au milieu de livres volés dans une maison en mines, cultivé, intelligent, et ironique, Marqués va lui faire découvrir un monde inconnu où chacun détient une vérité sur le mort et sur un passé que la Révolution veut effacer. Leonardo Padura crée un monde complexe, passionnant comme ces Cubains nés dans la révolution, qui vivent sans rêver d'exil et cherchent leur identité au sein du désastre.

Beaucoup de mal à terminer ce livre, l’auteur nous trimballe entre enquête  policière, histoire cubaine, homophobie, révolution sans jamais, je trouve, réussir à trouver le juste équilibre. Pas sûr que je lise les 3 autres de la série…

Films télé et séries :
Les filles du Plessis (F2)
La bataille d’adolescentes au début des années 70 pour reconnaitre leurs droits d’être enceintes… Très bien fait
Après moi le bonheur (TF1)
La bataille d’une mère condamnée par un cancer, pour choisir l’avenir de ses enfants … Très bon film, touchant, sans être larmoyant, posant les bonnes questions .
No offence (F2)
Une série anglaise mettant en scène une équipe de policier, en fait surtout des policières, sur une enquête sordide… Des personnages géniaux, hors normes, un humour « anglais » et une bonne histoire. Tout pour plaire !
Le mari de la ministre (Arte)
Encore une série anglaise, mais là sur la place des femmes en politique et surtout sur les effets de l’ambition et du pouvoir politique, sur la vie d’un couple, de sa famille. Fabuleux !

mercredi 9 mars 2016

C'était avant de rentrer...

Samedi : Avant dernier jour dans mon Sud, ce matin marché aux Vans, qui semble minuscule et pourtant si vivant par rapport à l’été.
Des ventes de produits, locaux, bios, … une semaine, où grâce à Soeurette j’ai découvert l’alimentation bio, qui semble tellement évident et simple ici !
Je pense que de retour, je vais faire l’effort de me pencher sur une alimentation de plus en plus bio… Va falloir convaincre M.Mari !

La semaine ne fut pas toujours accompagnée du soleil, mais suffisamment pour marcher tous les jours, de belles balades dans les vignes encore nues, mais au sol couvert de fleurs jaunes.







De plus en plus la boule au ventre à l’idée de rentrer, et je commence sérieusement à penser venir vivre ici…j’en parle autour de moi, il faut évidemment que je trouve un boulot… Pour l’instant la seule fois que j’ai évoqué cette idée avec M.Mari, il n’a pas dit non, mais je crois qu’il ne m’a pas prise au sérieux..mais pour moi cela devient une réalité nécessaire, je me vois même m’installer seule ici…je crois même que c’est ce que j’aimerai… Difficile…

Je ne me suis pas confié sur l’état de notre couple à Soeurette, je ne l’ai pas senti réceptive à entendre … C’est drôle j’ai plus de facilitées (façon de parler !!!) à me confier à Sister…. 
Alors encore une fois c’est ici que je viens parler !!! je vous remercie de m'écouter, et de vos petits mots ….

Une dernière ballade avec mon amie d’ici, pour clôturer cette semaine de promenade, de dégustation de crème de marron, de petits chèvres, de pâte de coings (faite maison par des amis) mais aussi de légumes bio…Une bonne tisane de thym là-dessus et c’est parfait….

Le retour est triste et morne…. Heureusement des news de fillette et de son nouveau chat !!! 
Elle me manque !!!!

samedi 5 mars 2016

Demain...



                                         
La semaine a passé à toute allure ! Je me résigne à retourner dans mon autre chez-moi.... Je reviendrais vous raconter, mais là je vous offre quelques vues!

jeudi 3 mars 2016

Merci iph'ne !!!

Quelle joie de pouvoir vous lire sur cet appareil !!! Parfois plus ou moins bien selon la connexion....